14 ateliers pour découvrir le handisport

Dans le cadre des journées Sport partagé et handicap, organisées par l'UNSS, le Comité départemental handisport et la commission "Discrimination, solidarité et handicap", le mercredi 28 février et jeudi 1er mars 2018, nous avons été à la rencontre de Fabrice Lhoumeau. Le directeur départemental de l'UNSS nous a présenté le déroulé de ces journées.

 

 

Durant deux jours, plus de 500 collégiens de tout le département vont pouvoir tester 14 handisports, tels que le basket fauteuil, le football à béquille, l'escrime...mais aussi des plus surprenants comme la boccia, "c'est comme la pétanque, explique Fabrice Lhoumeau. Les personnes utilisent une gouttière dans laquelle elles font glisser leur boule. Elles doivent gérer l'orientation de la gouttière pour se rapprocher du cochonnet." OU encore la fléchette pendulaire, qui se joue soit avec la main soit avec la bouche. "Un poids est suspendu à un fil que la personne fait bouger. L'objectif c'est que le poids tombe au plus près du centre de la cible."

 

Toutes ces activités seront encadrées par des sportifs de haut niveau, anciens médaillés olympiques et champions, et par les 24 élus jeunes de la commission "Discrimination, solidarité et handicap", qui ont été formés pour l'occasion.


La formation de la commission "Discrimination, solidarité et handicap"

Valentin et Héléna, membres de la commission "Discrimination, solidarité et handicap", constituée de 24 élus, témoignent de la journée de formation qui s'est déroulée ce mercredi 24 janvier 2018, au sein du centre omnisports Jacques Clouché à Boé dans l'optique des journées sports adaptés et handicap prévue les 28 février et 1er mars prochains.

 

CDJ : Pourquoi êtes-vous ici aujourd'hui ?

Valentin : Nous sommes ici pour nous préparer aux journées des 28 février et 1er mars 2018, qui ont pour but de sensibiliser les personnes aux sports adaptés et au handicap.

 

CDJ : Qu'allez-vous faire pendant cette formation ?

Héléna : Toute la matinée, nous avons étudié toutes sortes de handisport, avec l'aide de David Sanchez, responsable départemental du handisport et Fabrice Lhoumeau, responsable de l'UNSS.

Et cet après-midi, nous allons mettre en pratique et tester plusieurs sports pour pouvoir les expliquer au public lors des journées.

 

CDJ : Quel est l'objectif de cette journée ?

Valentin : A la fin de la journée, nous seront formés sur le handisport et nous pourrons donc encadrer les journées des 28 février et 1er mars ainsi que les classes de collégiens qui viendront sur ces journées. Nous pourrons les sensibiliser au handicap.

 

Nina, Nicolas et Paul.


Une vocation et des valeurs

La Commission "Discrimination, solidarité et handicap" du Conseil départemental jeunes prépare deux journées autour du sport adapté et du handicap. Elles se dérouleront le 28 février et le 1er mars au Centre omnisports Jacques Clouché à Boé. Avant, les 24 élus ont suivi une journée de formation avec David Sanchez, responsable départemental du handisport. Rencontre.

 

David Sanchez, jeune sportif de 35 ans, ordinaire d'Agen, est le responsable handisport pour le département. Passionné de sport, notamment de course à pied, il a toujours voulu en faire son métier. Après un bac S et une licence STAPS, il s'est orienté vers le sport adapté, destiné aux personnes touchées par un handicap mental. Souhaitant poursuivre son investissement, il s'est intéressé au handisport (pou les personnes en situation d'un handicap physique, ndlr), dans la but de "changer les mentalités" et pour "casser les préjugés". "Pour travailler avec des personnes handicapées, il faut avoir du l'empathie pour eux et non de la pitié", explique David Sanchez.

 

Le 28 février et le 1er mars 2018, se déroulera la 4ème édition des journées Sport adapté, au Centre omnisports Jacques Clouché de Boé. Il y aura 15 ateliers, triés par famille de sport et encadrés par un sportif handicapé de haut niveau. David Sanchez s'occupera du parcours à la sensibilisation, "mais le plus gros du travail, c'est la formation". Plus de 600 collégiens participeront à ces journées.

 

Camille, Talia, Yéléna et Noa.


Échange culturel à Sainte-Livrade-sur-Lot

 

La semaine du 8 au 15 octobre 2017, mon collège Paul Froment, à Sainte-Livrade-sur-Lot,  a accueilli 27 collégiens et 3 professeurs Italiens dans le cadre d’un échange culturel.

 

 

Cet échange a eu lieu grâce a Erasmus + qui est un programme européen qui incite les collégiens et les lycéens à aller à la rencontre d’autres jeunes européens, à visiter de nouveaux pays pour apprendre de nouvelles langues et découvrir de nouvelles cultures.

 

Grâce au jumelage de ma commune de Sainte-Livrade-sur-Lot  avec la commune de Bagnaria Arsa, au nord de l’Italie, mon collège a pu réaliser cet échange dans le cadre d’Erasmus+.

 

La durée du programme est de 3 ans, il a commencé en 2017 et se terminera en 2020.

 

Chaque année une trentaine d’élèves français partent en Italie et une trentaine d’élèves italiens viennent en France.

 

 

 

Le dimanche 8 octobre 2017, ce sont donc les élèves du collège de Palmanova, une commune à côté de Bagnaria Arsa, qui sont arrivés en France pour une semaine. Chaque Italien était placé chez un correspondant français ayant participé au premier échange de 2017. J’en faisais partie et j’ai donc accueillis deux Italiennes chez moi pour la semaine.

 

Pendant toute la semaine avec les autres élèves français et trois professeurs de mon collège, nous leurs avons fait visiter quelques endroits du Sud de la France pour leur montrer notre culture en Nouvelle - Aquitaine, comme Bordeaux, Villeneuve sur Lot, Monflanquin, mais aussi des sites mythiques dans l’histoire de la France comme Oradour-sur-Glane et Eauze car dans le cadre de ce projet, nous avons travaillé ensemble sur le thème de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Pendant toute cette semaine nous avons pu nous améliorer en Italien mais aussi faire de nouvelles rencontres et tisser des liens avec nos correspondants.

 

Nina.

 

 

Photo des correspondants qui ont participé à l’échange de 2017, en bleu clair les Français et en bleu foncé les Italiens.

 

Source Photos : page Facebook du « Collège Paul Froment »                      

 


La BD qui règle presque les problèmes

Le mercredi 6 décembre 2017, nous avons interrogé les Conseillers départementaux jeunes (CDJ) au sein de leur commission "Liberté, égalité, fraternité et valeurs de la République". Le groupe réalise actuelle une BD contre le harcèlement.

 

Cette commission existe depuis décembre 2016. Elle est composée de 14 CDJ. Dès leur élection, ils ont appréhendé des informations autour des Droits de l'Homme en allant, notamment, visiter le tribunal d'Agen où ils ont assisté à des procès.

 

Dans le cadre de leur commission, les CDJ abordent de divers sujets comme des droits et des lois de l'Homme et de l'Enfant, le harcèlement... Leur objectif est de lutter contre la discrimination. Ils ont donc décidé, par voie de vote, de réaliser une BD pour présentation en fin de mandat. Pour Jade Van Trooten, l'une des CDJ : "La BD est un moyen humoristique ou triste pour lutter contre le harcèlement à travers une histoire réaliste."

Afin de concevoir leur BD, ils ont fait appel à un graphiste.

 

Le graphiste.

Ervé Brisse qui habite à Villeneuve sur Lot depuis 2000, travaille seul. Il est devenu graphiste parce qu'il est passionné par le dessin depuis sa plus tendre enfance. Il a étudié à l'école Toulouse Lautrec de Bordeaux puis a enseigné pendant 4 ans à l'école d'Art André Malraux à Villeneuve sur Lot.

 

Le mercredi 6 décembre 2017, Ervé Brisse est intervenu dans la Commission Valeurs républicaines : "Je trouve intéressant de travailler avec des jeunes élus."

 

Motivés, les CDJ ont reçu de l'aide dans la structuration et la réalisation de leurs idées républicaines sous forme de story board. Le projet final devrait être présenté à la fin du mandat, le 31 mai 2018.

 

Ambre, Amel, Adil, Alexandru et Olivier.


Les abeilles font leur buzz

Le mercredi 6 décembre 2017, dans le cadre d'une nouvelle session du Conseil départemental jeunes (CDJ), nous avons interviewé la Commission Développement durable sur leur projet final.

 

Elus par leurs camarades dans leur collège, le premier groupe de la Commission Développement durable est composé de 8 CDJ. Nous avons posé des questions à quatre d'entre eux : Théophile, Pierre, Cassandra et Clara. Ils nous ont expliqué leur projet. En effet, ils veulent sensibiliser les gens aux abeilles qui pour eux sont le centre du développement durable.

Nous avons ensuite interviewé quatre autres collégiens : Aselin, Quentin, Noah et Samantha. Ils nous ont parlé des abeilles qui sont en voie de disparition en nous alertant sur les effets irréversibles de la disparition totale d'elles. En effet, sans abeilles, il n'y aura plus de vie.

 

Une journée de l'abeille en préparation.

Pour sensibiliser le grand public, les CDJ organiseront le 23 mai 2018, sur le site de Trotte Lapin de Moirax, "La journée de l'abeille". De nombreuses acticités seront proposées.

Dans l'objectif de cette journée, la commission doit créer une affiche pour informer le grand public de sa tenue. Pour ce faire, ils ont reçu l'aide d'un graphiste : Dominique Patinaud.

 

Dominique Patinaud : graphiste.

Ce graphiste est indépendant, c'est-à-dire qu'il travaille seul et n'est pas employé dans une société. Il a choisi ce métier parce que : "Quand j'étais petit, j'aimais dessiner". Il a l'habitude de créer des affiches pour des manifestations, pour des ventes... Il a donc de l'expérience.

 

"Je trouve le thème de la Commission Développement durable très intéressant. C'est bien pour l'environnement de sensibiliser les gens sur le sujet". Il aime faire des nouvelles rencontres comme par exemple avec les CDJ.

 

Nina, Yousra, Arthur, Lucas, Paul et Valentin.


Les Conseillers départementaux jeunes à La Dépêche du Midi

Le 2 octobre 1870, à Toulouse, le journal de la Dépêche du Midi fait son apparition et compte aujourd’hui parmi l’un des plus emblématiques journaux du Sud. Ce journal, autrefois celui des soldats au front, est devenu, au 21ème siècle, un quotidien ayant une édition pour chaque département de cette région. Sa direction est assurée par Jean-Michel BAYLET, Président du groupe « La Dépêche ».

 

 

La rédaction à Agen

 

En tant que journalistes en herbe, nous, les conseillers(ères) du Conseil Départemental  des Jeunes (CDJ) sommes allés interviewer le directeur de la Dépêche du Midi à Agen, Jean-Louis Amella, journaliste depuis une quarantaine d'années. Les locaux à Agen rassemble la Dépêche du Midi et le Petit Bleu rachetés par le groupe de presse à la fin des années 90.

Une trentaine de personnes y travaillent dont 17 journalistes. Ils sont chargés de recevoir, corriger et mettre en place les articles. Parmi eux, certains s'occupent exclusivement des faits divers et font "la tournée pour avoir des informations, en particulier sur les accidents,… auprès des pompiers et de la police", comme nous l’explique le directeur de La Dépêche d’Agen au sein de la salle de rédaction. Il y a aussi des correspondants. Chacun est responsable d'une rubrique dans "son coin" car il travaille sur son village et rend son article sur son territoire.

Il y a deux ans, le groupe la Dépêche a racheté Midi libre étendant désormais sa diffusion d'Agen à Montpellier.

 

 

 

Alexandru Tinka.


Visite de la web radio Cool direct

Les 15 mars et 10 mai 2017, les deux groupes de la commission Médias et nouveau médias ont visité la web radio Cool direct située dans un espace de co-working à Sérignac-sur-Garonne. Ils racontent leur expérience.

 

Dès notre arrivée, la directrice et présidente, Christine Crespo et le journaliste, Jean-Marc Crespo, nous ont accueilli et ont projeté un film présentant la radio, ses activités et les spécificités d'une web radio. Nous avons également abordé la partie technique sur le fonctionnement, la diffusion, le matériel...

Nous nous sommes ensuite divisés : Talia et Paul ont interviewé la directrice pendant que Sonia et Nelly prenaient des photos, Sacha et Adil ont fait une interview filmée de Jean-Marc dans son studio.

photo M.P

photo M.P

Une fois la visite terminée, nous sommes tous repartis avec un stylo et la même idée : "Je veux faire pareil".

photo M.P

 

Nelly, Sonia, Noa et Paul.